Bertrand Jost
Publications :
Vicissitudes
Militaires 1809-1959
Sept générations de conscrits d’une famille alsacienne
aux armées de cinq
empires
Tome second –
Le Prix de la Liberté 1815-1870
Editions
Calleva - A Paraître en 2011
Vicissitudes
Militaires 1809-1959
Sept
générations de conscrits d’une famille alsacienne aux
armées de cinq empires
Tome premier -
Grandeur et déchéance 1809-1815
Editions
Calleva – Mai 2010
Kocherschbari
no56 – Hiver 2007
« Marius
Meyer (1917-2006) – Mémoires inachevées »
Kocherschbari
no56 – Hiver 2007
« Histoire
de la libération de Hohatzenheim et des environs
(1944-1948) »
Empire
Patriot – Volume 9 Issue 3 – August 2007
« The
American War of Independance – A Global War
against England »
Kocherschbari
no54 – Hiver 2006
« Une
famille de bergers du Kochersberg : les Jost entre 1726 et
1789 »
Kocherschbari
no50 – Hiver 2004
« Hohatzenheim
n’est pas le domaine des dieux – Etymologie du nom du
village »
Applied
Mathematics and Computation - Volume 71, Issue
1 - August 1995
« A
critical analysis of the numerical and analytical
methods used in the construction of the lunar gravity potential model
»
Présentation de
l’auteur
J'ai grandi dans la région de Strasbourg
entre l’école en ville
et les vacances passées à la campagne dans le petit
village de 200 habitants
des grand-parents. Après des études d’ingénieur
effectuées à Paris, je quitte
la France en 1991 pour les Etats-Unis. Je passe deux années dans
une université
du Texas près de Dallas où j'obtiens un
« Master of Science » en
Astronautique dont la thèse de recherche est financée par
la NASA. En 1993, je
déménage à New York où je me reconvertis
dans la finance. A partir de 2002, je me spécialise dans
l’analyse financière des « Hedge Funds »
ou fonds
spéculatifs, domaine en pleine croissance dans la finance
américaine.
Ces deux décénies passées à l’étranger ont
changé fondamentalement la relation que j'avais avec mes
racines, mon pays et ma région d’origine. A partir
de 1998, une nostalgie d’abord inconsciente puis assumée envers
l’Alsace rêvée
et non pas réelle ont nourri sans relâche un besoin
d’écriture, un désir de raconter
qui l’on est à partir de ceux d’où l’on vient, car en
Amérique, celui qui ne
protège pas son passé devient vite un amnésique,
englouti vers un futur
toujours plus envahissant. Dominique de Villepin, fils
d’expatrié, a
dit un jour: « La France, je l’ai aimé avant de
la connaître. »
Bertrand Jost pourrait dire : « L’Alsace heureuse, j’ai
du la quitter
pour pouvoir l’aimer. »
Je suis marié à une new-yorkaise,
Elizabeth qui m'a donné deux
enfants, Guillaume et Sophie. La famille habite dans la banlieue de
New-York.